Notre sélection de sept livres feel good pour une rentrée 2025 sans stress
La rentrée est souvent synonyme de reprise effrénée : boîtes mail débordantes, réunions qui s’enchaînent, obligations familiales et professionnelles qui se superposent… Face à cette agitation, s’accorder un temps pour soi devient essentiel. Et quoi de mieux qu’un livre pour respirer, relativiser et retrouver un peu de sérénité ?
Une rentrée sous le signe de la lecture bienveillante
Ces sept livres n’ont pas grand-chose en commun si ce n’est une même promesse : ralentir, inspirer et accompagner. Chacun, à sa façon, offre une échappée belle hors du tumulte de septembre. Qu’il s’agisse de redécouvrir le pouvoir de l’art, d’apprendre à savourer l’instant, de s’inspirer de récits lumineux ou de rêver d’ailleurs, ces lectures rappellent que le livre est bien plus qu’un objet de papier : c’est un allié pour traverser la saison sans s’épuiser.
Alors, plutôt que de courir après le temps, pourquoi ne pas s’offrir une heure de lecture par jour ? Entre deux obligations, un roman peut devenir un refuge, une respiration, parfois même une solution. Une rentrée sans stress commence peut-être par un simple geste : ouvrir un livre. Et voici la sélection de la rédaction en diaporama.
Une si belle envie de vivre, Cécile Pardi (Leduc), 8,90 euros
Un récit lumineux et inspirant, porté par un témoignage fort : malgré les épreuves, il est possible de retrouver goût à la vie. Pour celles et ceux qui abordent septembre avec appréhension ou fatigue, ce livre est une bouffée d’air et une promesse d’espoir. La meilleure manière de se rappeler que l’énergie se trouve souvent dans l’envie, pas seulement dans l’organisation.
Les heures fragiles, Virginie Grimaldi (Flammarion), 20,90 euros
La rentrée rime souvent avec la course contre la montre. Virginie Grimaldi, avec sa plume tendre et humaniste, nous rappelle que chaque instant compte. Son roman explore la beauté des moments suspendus, de ces petits riens qui font tout. Une lecture qui invite à savourer l’instant présent plutôt que de se perdre dans la pression quotidienne.
Partir un jour, Véronique Hielard (City), 19,50 euros
La rentrée peut donner envie de fuir. Ce roman explore cette tentation, celle de tout quitter pour recommencer ailleurs. Entre voyage intérieur et quête d’évasion, il nous pousse à réfléchir à ce que signifie vraiment “partir”. Est-ce une fuite, un renouveau, ou simplement une manière d’apprendre à mieux rester ? Une lecture qui aide à rêver tout en gardant les pieds sur terre.
Les yeux de Mona, Thomas Schlesser (Le Livre de Poche), 10,90 euros
Ce roman nous plonge dans la rencontre entre une enfant et son grand-père, qui l’initie aux chefs-d’œuvre de l’art. Chaque tableau devient une leçon de vie, une invitation à regarder autrement le monde. Parfait pour ralentir le rythme, se reconnecter à l’essentiel et redécouvrir la puissance des émotions.
Comment devenir Anna Karénine (sans finir sous un train), Eleonora Sottili (Calmann-Lévy), 20,90 euros
Avec humour et intelligence, l’autrice revisite la figure mythique de Tolstoï pour interroger nos modèles féminins et nos choix de vie. Ce livre original permet d’aborder la rentrée avec un sourire et une réflexion salutaire : comment s’inspirer des héroïnes de la littérature sans reproduire leurs tragédies ? Une manière décalée et stimulante de relativiser nos propres drames du quotidien.
J’irai chercher le bonheur entre les lignes, Stéphanie Giordano (Charleston), 19 euros
Quoi de plus approprié qu’un roman qui place la lecture au cœur de la quête du bonheur ? Ici, les mots deviennent des refuges, les livres des compagnons de route. Ce texte chaleureux célèbre la bibliothérapie sans en avoir l’air et rappelle que parfois, ouvrir un roman suffit à alléger un cœur ou une journée.
C’est pas marqué dans les livres, Julien Rampin (Charleston), 19 euros
Derrière ce titre malicieux se cache une histoire sur les surprises de la vie, celles qu’aucun manuel ne peut anticiper. Julien Rampin nous entraîne dans une aventure pleine d’humanité et de tendresse, idéale pour lâcher prise face à l’imprévu de la rentrée. Parce que, justement, tout n’est pas écrit à l’avance, et que c’est tant mieux.
