Joanna Cartwirght pensait avoir la grippe mais elle est passée à côté de la mort. Victime d'un choc toxique provoqué par son tampon, elle a dû être plongée dans le coma car ses organes vitaux ont commencé à cesser de fonctionner. Lorsqu'elle s'est réveillée, huit jours plus tard, la patiente avait perdu 50% de ses cheveux, ses ongles étaient tombés et sa peau avait pelé. Pire encore ! "Lorsqu'on m'a montré les photos de mes trois enfants j'étais incapable de les reconnaitre", raconte la jeune maman au journal anglais Dailymail.

Obligée de ré-apprendre à marcher et parler

Selon les médecins, le choc toxique a provoqué une septicémie à méningocoque. En d'autres termes, à cause de son tampon, la patiente a développé un empoisonnement du sang qui a libéré des toxines dangereuses dans tout son organisme. Ce phénomène rare est déjà survenu en 2013 chez une jeune fille française qui était décédée après avoir gardé son tampon pendant une vingtaine d'heures. Joanna Cartwirght n'a pas précisé la durée du port de son tampon, elle a simplement déclaré n'avoir "rien fait d'anormal comparé aux autres mois".

Aujourd'hui, elle va mieux même si elle ne se souvient plus de certaines périodes de sa vie. Elle a dû ré-apprendre à parler et marcher grâce à la physiothérapie.

mots-clés : septicémie
Notre Newsletter

Recevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de Medisite.

Votre adresse mail est collectée par Medisite.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.