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Maladie vénérienne : le papillomavirus

Si la grande famille des papillomavirus compte plusieurs dizaines de souches différentes, c’est bel et bien le papillomavirus de type 16 qui se transmet par voie sexuelle et occasionne les fameux condylomes, ces verrues qui surviennent sur les parties génitales. En l’absence d’un traitement efficace, cette infection virale peut évoluer vers un cancer du col de l’utérus.

Maladie vénérienne : l’infection à Chlamydiae

Transmise lors de relations sexuelles non protégées avec une personne contaminée, l’infection Chlamydia trachomatis est difficile à détecter car elle reste bien souvent dénuée de symptômes caractéristiques. Mais à terme, elle peut être responsable d’une infertilité chez la femme.

Maladie vénérienne : l’herpès génital

Cette maladie transmise par virus Herpès simplex de type 2 s’avère particulièrement contagieuse, ce qui explique que près de 12 millions de Français en seraient atteints. Ce virus particulier se caractérise par une primo-infection, au terme de laquelle il va s’endormir au sein de l’organisme, pour réapparaître sous la forme de poussées herpétiques mais uniquement chez certains individus.

Maladie vénérienne : la blennorragie

Assez fréquente, la blennorragie arrive en quatrième position des maladies sexuellement transmissibles. Plus communément qualifiée de "chaude-pisse", cette infection est causée par une souche bactérienne appartenant à la famille des Neisseriaceœ et se manifeste sous la forme de leucorrhées et de cystites répétées.

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