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Tumeur cérébrale : les facteurs de risque

Si prévenir la survenue d’un cancer du cerveau est impossible, certains facteurs de risque peuvent toutefois être maîtrisés. C’est le cas notamment de l’exposition à des substances radioactives. C’est la raison pour laquelle, d’ailleurs, les examens utilisant des radiations médicales (radiographie, tomodensitométrie...) font l’objet de préconisations d’utilisation strictes. En outre, certaines personnes présentant des antécédents familiaux ou personnels de cancer du cerveau feront l’objet d’une surveillance médicale accrue. C’est également le cas pour les patients souffrant de pathologies connues pour accroître le risque de tumeur cérébrale : le syndrome de Li-Fraumeni, le syndrome de Turcot ou encore le syndrome de von Hippel-Lindau.

Tumeur cérébrale : le pronostic

Comme pour la majorité des pathologies cancéreuses, la mise en place d’un traitement adapté dès le stade précoce accroît considérablement les chances de rémission du cancer cérébral. Mais les tumeurs primitives du cerveau sont généralement détectées trop tardivement, ce qui réduit les chances de survie du patient. D’autres critères entrent également en ligne de compte dans l’évaluation du pronostic. Ainsi, l’âge est un facteur important puisque les personnes âgées présentent un meilleur pronostic que les autres. La typologie, la localisation de la tumeur et l’option thérapeutique appliquée en sont trois autres. Mais lorsqu’il s’agit d’une tumeur métastatique, le pronostic vital est particulièrement mauvais, car il s’agit là du développement d’un cancer ayant pris naissance au sein d’un autre organe.

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