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Nous ne semblons pas tous égaux devant la grippe. Si certains n'ont besoin que de quelques jours pour se remettre sur pied, d'autres traîneront le cirus pendant des semaines, devant pour certains passer par l'hôpital à cause de complications. Des chercheurs du département de microbiologie et d'immunologie de l'Université de Melbourne ont peut-être trouvé la solution à cette différence, tout du moins pour ce qui est de la grippe H7N9, une forme de la grippe aviaire.

En étudiant des tissus sanguins et pulmonaires, l'équipe dirigée par le Pr. Katherine Kedzierska a remarqué des marqueurs génétiques indiquant une sensibilité accrue à cette souche. "Un niveau plus élevé que la normale de cytokines, causé par une variante génétique d'une protéine appelée IFITM3, nous indique que des symptômes plus graves sont probables", a-t-elle expliqué dans un communiqué.

L'étude, publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, va permettre de dépister à l'avenir les patients les plus vulnérables.

mots-clés : grippe, gène, génétique, tique
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